vous êtes là, nos proches, nos amis, nos rencontres et face à notre lunien des questions vous brulent les lèvres.
"je ne sais pas comment tu fais, moi je ne pourrais pas" Voilà bien la phrase qu'il nous est donné d'entendre la majeure partie des cas.
Sachez que si, vous le pourriez car l'instinct de survie psychique est là et nous empêche de nous attarder sur notre sort. On fait, on vit, on sourit, on survit, et vous aussi vous le feriez, si vous étiez à notre place.
J'ai entendu : "je ne sais pas quoi te dire, je n'ose pas te parler de mon bébé, parce que, lui, il va bien"
il faut pourtant continuer à nous parler de vos bébés qui vont bien; il faut faire avec la vie, et la vie, c'est ces bébés qui vont bien, et nos luniens qui ne "vont pas pareil".
j'ai lu "je suis désolée, mais je suis enceinte et ça me fait trop de mal de voir que tu traverses des moments difficiles, alors que moi, je vais si bien"
On a le droit de se réjouir de vos bonheurs, et même, peut-être que maintenant, on est plus doué pour savoir quel bonheur c'est que le vôtre.
Le handicap (mental dans notre cas), ce handicap là, celui qui ne se voit pas, nous amène à entendre "qu'est-ce qu'il est beau, c'est vraiment pas de chance..."
et là, on "glupsifie", on avale notre salive, et on passe à autre chose...
"je ne sais pas comment tu fais, moi je ne pourrais pas" Voilà bien la phrase qu'il nous est donné d'entendre la majeure partie des cas.
Sachez que si, vous le pourriez car l'instinct de survie psychique est là et nous empêche de nous attarder sur notre sort. On fait, on vit, on sourit, on survit, et vous aussi vous le feriez, si vous étiez à notre place.
J'ai entendu : "je ne sais pas quoi te dire, je n'ose pas te parler de mon bébé, parce que, lui, il va bien"
il faut pourtant continuer à nous parler de vos bébés qui vont bien; il faut faire avec la vie, et la vie, c'est ces bébés qui vont bien, et nos luniens qui ne "vont pas pareil".
j'ai lu "je suis désolée, mais je suis enceinte et ça me fait trop de mal de voir que tu traverses des moments difficiles, alors que moi, je vais si bien"
On a le droit de se réjouir de vos bonheurs, et même, peut-être que maintenant, on est plus doué pour savoir quel bonheur c'est que le vôtre.
Le handicap (mental dans notre cas), ce handicap là, celui qui ne se voit pas, nous amène à entendre "qu'est-ce qu'il est beau, c'est vraiment pas de chance..."
et là, on "glupsifie", on avale notre salive, et on passe à autre chose...