je sais je ne suis pas un papa mais si je me permets messieurs de poser un peu de prose dans cette rubrique. C'est qu'une "remarque" de Béa sur l'ouverture du sujet m'intéresse au plus au point et m'interpelle. En effet il semble que vous ne viviez, ressentiez pas, martiens que vous êtes, la différence de notre enfant comme nous autres venusiennes.
Outre le lien in utéro qui nous lie à jamais à notre bout de choux, l'approche semble différente
Comme vous le savez le papa de Diane et moi sommes divorcés, non pas à cause ou pour Diane, l'éloignement, l'incompréhension étaient présents avant. Cela aurait pu nous ressouder mais il n'en fut rien
je me souviendrai cependant toujours de sa réaction et de cette reflexion qu'il m'a souvent dite (et encore aujourd'hui): "c'est comme ça on y peut rien il faut l'accepter" ; "on doit vivre avec" POINT.
Je ne dis pas qu'il ne souffre pas et est indifférent, bien au contraire. Sa souffrance est surement différente c'est tout... enfin je crois.
Alors messieurs aidez-nous à vous comprendre.
Outre le lien in utéro qui nous lie à jamais à notre bout de choux, l'approche semble différente
Comme vous le savez le papa de Diane et moi sommes divorcés, non pas à cause ou pour Diane, l'éloignement, l'incompréhension étaient présents avant. Cela aurait pu nous ressouder mais il n'en fut rien
je me souviendrai cependant toujours de sa réaction et de cette reflexion qu'il m'a souvent dite (et encore aujourd'hui): "c'est comme ça on y peut rien il faut l'accepter" ; "on doit vivre avec" POINT.
Je ne dis pas qu'il ne souffre pas et est indifférent, bien au contraire. Sa souffrance est surement différente c'est tout... enfin je crois.
Alors messieurs aidez-nous à vous comprendre.